Je suis née en Provence en 1965. Mes origines sont Espagnoles et Françaises.
La littérature est venue à moi tout naturellement. J’ai toujours aimé lire, et ce dès ma tendre enfance.
Les mots ont pour moi une saveur toute particulière. À l’école primaire, j’adorais les rédactions.
Inventer des histoires, donner vie à des personnages. La littérature fait partie de mon ADN depuis toujours.
J’écris principalement de la romance. Si mes romans peuvent ouvrir une fenêtre sur le bonheur par le biais des mots ; cela me comblera. Mon maître mot est : partager.
À l’adolescence, j’étais une jeune fille timide et réservée. C’est là que j’ai commencé à écrire. D’abord des poèmes. Puis j’ai eu envie de m’essayer aux romans. J’aimais écrire des histoires d’amour. Mais pas toujours avec un « happy end ». Un événement douloureux à cette période m’a poussée vers l’écriture comme un exutoire.
Tant de choses. Mon ADN comme je l’ai dit tout à l’heure. Et tellement plus encore. Écrire est mon oxygène. J’écris tous les jours. Je ne peux concevoir une journée sans mots. Cela m’aide à surmonter les maux de la vie.
Au-delà de ma passion pour les mots ; mon secret désir était de partager mon univers littéraire. De m’ouvrir aux autres. J’ai toujours eu des métiers de contact. Et l’écriture est également un métier de contact…. Avec les lecteurs.
Mon état de santé ne me permet plus de travailler. Alors j’écris…
Un roman prend du temps. Il me faut le temps de la maturation, de la documentation, du bon moment.
Cela peut parfois prendre des mois. Voire une année. J’écoute de la musique classique lorsque j’écris.
Oui, j’ai aménagé une ancienne chambre en bureau. Cette pièce est spéciale pour moi. C’était la chambre de ma grand-mère. De belles ondes s’y trouvent.
J’écris plutôt l’après-midi ou alors la nuit. Quand tout est calme. Si l’inspiration est là ; je peux écrire durant des heures.
Mon premier roman est né en classe de terminale pendant les cours de philosophie.
Il s’intitulait « Les claires eaux ». Petite anecdote : mon amie de lycée notait le cours sur carbone pendant que j’écrivais mon roman. Puis elle lisait le chapitre une fois fini. Et ainsi, de suite jusqu’à ce que le roman soit terminé.
Pas du tout. J’ai passé un baccalauréat littérature et langues étrangères. Et je suis détentrice d’un BTS de tourisme.
Cela dépend de mon état de santé principalement. Mais il faut bien compter un an.
J’ai un autre livre en cours d’écriture : « Les claires eaux ». Celui écrit à l’époque des années lycée. Mais il va subir un relooking complet. Cela prend un peu de temps.
J’écris avec mon nom de naissance.
Tous mes romans ont une base de vérité. J’ai besoin de faits réels pour écrire. Que ce soit de vie privée ou de l’actualité. Mes personnages prennent vie au fil des pages. Et j’ai toujours un peu de difficulté à les laisser s’en aller quand le roman est terminé.
Entièrement. Mes personnages font partie de moi. Ils sont une extension de mon existence. Il y a toujours un peu de moi à travers eux.
Oui toujours. De ma famille ou de personnes qui à un moment donné ont croisé mon chemin.
J’ai à ce jour publié deux romans « Amère Vérité 1» et « Amère vérité 2 : des larmes d’espoir ».
Oui, je pense. Comme tous les métiers si on veut le faire correctement. Et trouver une maison d’édition n’est pas toujours chose aisée.
Mes deux romans ont connu trois maisons d’édition différentes avant d’être publié chez Évidence Éditions.
Les débuts ont été difficiles. Je suis d’abord passé par l’auto-édition… pas évidente du tout. Il faut tout faire soi-même. J’ai adressé mes romans à des chroniqueuses et finalement la maison Évidence Éditions, m’a contactée pour me publier. Mes romans les intéressaient.
De la joie mêlée à du stress. Comme tous les auteurs, je pense.
Oh oui. C’est difficile à expliquer. Cela m’est arrivé après le décès de mon papa, il y a 5 ans. Pendant plus de deux ans, il m’a été impossible d’aligner deux phrases. C’était comme si mon cerveau s’était vidé de toute substance.
L’envie d’écrire me taraudait. Le besoin d’écrire était trop violent. Et finalement, les mots sont revenus.
Ma famille et mes amis sont mes premiers lecteurs. Ce n’est pas pour autant qu’ils sont complaisants à mon égard. J’aime leur franchise. Cela aide à avancer. Sinon, dans l’ensemble, ils apprécient mes romans.
La première question que l’on m’a posée était « tu comptes gagner ta vie avec ça ? »
La littérature sentimentale permet de s’évader des tracas de la vie quotidienne. Si mes romans apportent un peu de bonheur à mes lecteurs. Alors je serais heureuse.
La littérature sentimentale.
« Amère Vérité 1 » Laurie Mac Milton est élevée par son grand-père. Le jour de ses 21 ans, elle est kidnappée par un inconnu qui lui fait traverser les États -unis via la Californie pour rencontrer sa famille biologique. Elle apprend qu’elle a été adoptée. Pourquoi son grand-père lui a menti durant toutes ces années ? Qui est cette famille qu’elle va devoir apprendre à connaître et à aimer ?
Quel secret cache sa naissance ?
Évidence Boutique mes romans sont dans la collection VENUS ROSE/
Il va falloir patienter encore un peu. « Les claires eaux » n’est pas encore sur le clavier.
Mes histoires ont pour lien commun les sentiments humains dans toutes leurs splendeurs et décadences.
Mes romans présentent tous des histoires d’amour tortueuses. Le tout lisse est tellement ennuyeux.
Oui : Nora Roberts.
Je m’inspire de la vie en général, des gens, des confidences que l’on m’a faites.
–-> Lu : Pourpre de Sylvie Grignon
–> Écrit : « Les claires eaux » en cours.
Je ne sais pas. Je ne l’ai pas encore écrite.
« Autant en emporte le vent »
« La gloire de mon père »
« Jane Eyre »
« Germinal »
« Le rouge et le noir »
Évidemment. Toute critique est constructive. Car elle nous permet de nous améliorer.
Bien sûr. Sinon cela n’aurait pas de sens. Tenir compte des critiques ou avis des lecteurs est, je pense, une manière toute naturelle de les respecter.
Oui, je pense l’avoir dévoilée plus en avant. « Les claires eaux »
Élise et Romain. Deux amis d’enfance, de conditions sociales différentes.
Une amitié puis un amour contrarié par la famille de Romain et la société.
Élise travaille dans une entreprise de paysagiste sur la Côte d’Azur. Elle va être mandatée par son patron pour réorganiser le parc de la propriété des Claires Eaux. Lieux qu’elle a bien connus jadis. Son père y était jardinier. Elle a grandi là-bas aux côtés de Romain, le fils unique de la famille des propriétaires. Comment vivra-t-elle ce retour sur les traces de son passé de son enfance ? Qu’est devenu Romain après toutes ces années ? Tant de questions sauront-elles trouver une réponse ?
Je ne suis qu’au tout début. J’ignore encore tout de la date de parution. Je n’en suis qu’au stade de l’écriture.
–> Quel est le bonheur pour vous ?
–> Écrire.
Je pense que j’ai beaucoup donné de moi-même à Laurie l’héroïne de « Amère Vérité ».
Donc je vis un peu à travers elle.
Nous vous remercions pour cette Interview.
Celle-ci, fût pour nous un réel plaisir, que de vous parlez sur Facebook, d’apprendre grâce à votre interview un peu de choses sur vous & votre univers.
Nous espérons que vous, ami(e)s lecteurs : Découvrirez, ou redécouvrirez cet auteur.
–> Merci beaucoup à vous. Bisous cordiaux de notre part.